Amilgaul
Ou l’elfe du courage mais pas de la témérité.
En ces temps anciens où la Bataille contre la Horde fait rage, je naquis au plus profond de la forêt des elfes de la Nuit. Entourée de chasseur, j’appris l’art de la chasse et les métiers de dépeceur et du travail du cuir. Après avoir atteint la maturité elfe, je partis à la découverte du monde elfe. En route, je fis la connaissance d’
Ezëkiel un elfe de la nuit peu recommandable mais avec lequel nous pouvons passer de très bon moment. Nous partageâmes un bout de chemin jusqu’à une ville elfe sur Kalimdor : Auberdine.
Je fus enrôlée dans des groupes qui, pour certains étaient peu soucieux du monde, pour d’autres composés de forts combattants. Une prêtresse répondant au nom de
Turrane me mena à Hurlevent, grande cité des Hommes. Bien que la cité soit fort belle, son atmosphère ne me permettait pas de me sentir à mon aise et me réfugiais dans la forêt d’Elwynn loin de la population. J'aidais les habitants tantôt à soigner une maladie qui pestiférait leur propriété, tantôt à retrouver un être cher. Ces quêtes me firent découvrir le monde, j’appris la voie des bêtes et apprivoisa loups et félins qui m’aidèrent dans mes quêtes les plus difficiles. Mon vieil ami
Pronimo m’accompagne encore aujourd’hui. Il s’agit d’un magnifique tigre blanc rayé ancien rois de la vallée de Strangleronce.
Étant très nomade, j’appris l’ingénierie et le minage. Ces métiers harassant, demandant beaucoup de muscle, une grande endurance et aucun raffinement : des métiers nains et gnomes… Cependant ils [les métiers] me menèrent récemment à la cité naine Forgefer. Bien que nous, les elfes, préférions être au contact de la nature et dans de grands espaces dégagés, cette petite ville souterraine me charma. Ma venu chez les petites personnes à longue barbe ne fit pas que des ravis.
Ces nains puants et coléreux ne pensant qu’à leur richesse et leurs constructions monumentales et restant cachés sous terre dès le moindre conflit me firent découvrir les joies du « encas de problèmes je reste loin, je tire mes flèches et si on vient me frapper je fuis, je piège et je fais la morte ». Je devins grande gueule, me pavanant devant les ennemis, les provoquant et surtout courant très vite dès le moindre mouvement suspect.
Durant mon voyage à travers le monde de l’Alliance et de la Horde, mes ennemies les plus redoutables furent les elfes de sang. Ces magnifiques elfes se battant contre leur origine, me procurent un profond sentiment de dégoût, de honte, de haine et de révolution ; je tuais d’un sang le plus froid mon premier elfe sur un champ de bataille.
Cet évènement ne passa pas inaperçu dans l’Alliance et je fus remarquée par un groupe de combattants respectant honneur et tradition se faisant appeler les MortSure. Aujourd’hui mon histoire continue, j’ai hérité des blagues naines qui ne sont pas toujours drôles, pour ne pas dire jamais. Je suis peureuse comme un nain, joyeuse comme les gnomes, je ne fais jamais la tête contrairement au nain, et j’ai un grand cœur comme les elfes. Par contre je suis volontaire et je suis prête à m’investir et à développer des compétences nécessaires à l’équilibre et au bon fonctionnement de la communauté MortSure.
C’est pourquoi j’ai décidé de parcourir le monde et de découvrir l’Exodar pour apprendre un métier demandant plus de raffinement, de savoir faire et de goût : la joaillerie.
PS : vous pourrez me demander beaucoup de chose, combattre les ennemis de ce monde, si la vie d’un confrère est en danger je l’aiderai mais
attention si ma vie est mise en péril je n’hésiterai pas un seul instant à partir en courant, à poser un piège et feindre la mort.Ma devise est à présent «
mieux vaut un mort que deux tu seras… » (Inspiration naine)
Allez mes amis, tuons les ennemis de ce monde et n’oubliez pas : ne me laissez pas mourir !!!
Moi oui si ma vie en dépend… Hip Hip HIP Orra !!! Merci à Kaspafort et Nosferian & Co.
Amilgaul.